Les usagers du transport collectif sont tous piétons en se rendant à leur arrêt, lors des transferts, aux abords des pôles d’échanges, des stations et des terminus. Par contre, en s’attardant à la cohabitation des piétons, des automobilistes, des cyclistes et des véhicules de transport collectif, on réalise que c’est aux intersections et aux abords des arrêts d’autobus que la sécurité routière n’est pas assurée. On remarque aussi un manque d’études reliées à ces enjeux, tant en milieu urbain, périurbain que rural.