Les morceaux manquants en santé des femmes : une analyse qui tient compte du genre et de la migration pourrait-elle aider?

Anwesha Pathi est une étudiante en études du développement à l’Institut indien de technologie de Madras, toutefois, pendant 12 semaines cet été, elle travaille avec des étudiants des cycles supérieurs, des chercheurs postdoctoraux et des professeurs à l’Université de Montréal (UdeM) à titre de stagiaire de recherche Mitacs Globalink.

La recherche se met à l’écoute des émotions

Travaillant sous la direction du professeur Alexandre Lehmann, l’Australienne ayant une concentration en psychologie utilise l’électroencéphalographie (EEG) pour mesurer les cerveaux de 20 bénévoles pour voir comment ils réagissent à différentes sortes de sons.Karina

La science de la prise de décision

C’est ce que le chercheur étudiant au doctorat de l’Université McGill, Derek Albert voulait découvrir. 

La technologie des prothèses auditives a un air différent

La chercheure de l’Université Ryerson Huiwen Goy est résolue à ramener la musique aux Canadiens avec des déficiences auditives à l’aide d’une bourse de recherche Mitacs Élévation avec les sociétés sœurs Phonak et Unitron Hearing.

De la recherche en sciences sociales aide une entreprise à transcender les taux de clics et les pages vues

Treefrog de Newmarket, Ontario sait tout ce qu’il y a à savoir à propos des médias sociaux pour les entreprises. Elle offre une gamme de services de marketing aux clients, incluant les stratégies « traditionnelles » de médias sociaux. Mais une série de conversations continue entre Sean Stephens, le PDG de Treefrog et Laurie Baker, alors une candidate au doctorat en anthropologie à l’Université York a suscité un changement dans la façon pour l’entreprise d’aborder les médias sociaux.

Observer de près les visages familiers

La filiale d’Ottawa de l’Association canadienne pour la santé mentale (ACSM), en partenariat avec le Réseau local d’intégration des services de santé Champlain, a lancé un programme unique intitulé « Visages familiers » afin de surmonter ce problème.

Le bien-être des jeunes autochtones par les arts et la culture

Une approche, qui gagne de plus en plus de terrain, à l’égard de ces enjeux consiste à offrir des activités participatives de nature artistique et culturelle qui sont conçues par et pour les membres des collectivités autochtones. En créant des outils pour raconter des histoires et faire connaître la culture, les chercheurs et les membres des collectivités travaillent ensemble pour permettre aux jeunes autochtones d’explorer leurs capacités créatives et d’imaginer des possibilités pour un avenir meilleur.

Une recherche à l’Université Wilfrid-Laurier explore les défis des femmes immigrantes

Par le plus grand des hasards, Denisse a reçu un courriel du bureau international de son université qui parlait d’une occasion de venir au Canada pour un stage de recherche Globalink. Denisse — curieuse à propos du pays après avoir pris un cours sur la culture de l’Amérique du Nord — a postulé sur plusieurs projets ayant une composante d’études de genre et fut jumelée à Mme Jenna Hennebry, Directrice du International Migration Research Centre [centre international de recherche sur l’immigration] de l’Université Wilfrid-Laurier à Waterloo, Ontario.

Une anthropologue étudie l’utilisation de la terre par les Autochtones afin de comprendre son importance culturelle

« J’ai toujours été intéressée par l’anthropologie, surtout l’ethnographie autochtone, et comment certaines forces tentent de les homogénéiser. Le chercheur joue un rôle essentiel dans ce genre d’études, puisqu’il ou elle doit expérimenter ces communautés en étant dans celles-ci, » explique-t-elle. « L’anthropologie existe dans l’espace où une culture entre en collision avec une autre. » Elle met cette passion au travail à l’Universidade Federal do Rio de Janeiro (UFRJ).

Une doctorante fait équipe avec une jeune entreprise de jeux vidéo pour enfants pour faire connaître des enjeux sociaux

De nombreux Montréalais qui œuvrent dans de jeunes entreprises en plein essor de la ville connaissent l’importance des « 5 à 7 », ces lieux de rencontre où l’on peut créer des réseaux avec d’autres entrepreneurs et des gens d’affaires après les heures de travail. Mais pour Renée Jackson, doctorante en éducation à l’Université Concordia, c’est lors d’une occasion de ce genre qu’elle a fait une rencontre fortuite qui a ouvert de nouvelles voies à ses travaux de recherche et établi un partenariat à long terme avec un allié inusité.

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