Une diplômée en sciences de la vision fait progresser une technologie inclusive

Nathalie Gingras-Royer, jeune diplômée en sciences de la vision de l’Université de Montréal, travaille sur le développement d’une technologie inclusive destinée à répondre aux besoins des personnes ayant une déficience visuelle.

Investir dans la recherche, pour l’équité économique

Le bilan déséquilibré de la COVID-19 a mis en lumière la nécessité d’éliminer les obstacles qui entravent la participation des Canadiens et des Canadiennes à l’économie et d’améliorer leurs perspectives pour renforcer l’économie.

Une chercheuse améliore les services aux familles aux prises avec l’agressivité

Un sondage de routine visant à évaluer les besoins des personnes qui ont recours aux programmes de soutien pour leurs enfants vivant avec un trouble neurodéveloppemental a révélé une conclusion surprenante qui a poussé Maude Champagne, chercheuse à l’Université Queen’s, à s’investir dans une mission. 

Une nouvelle appli jumelle des bénévoles avec des personnes en situation de handicap

Grâce à une plateforme unique en son genre, les personnes en situation de handicap au Québec auront bientôt un moyen de sortir et de pratiquer des activités de plein air en toute sécurité. Cette plateforme, actuellement développée par le Centre interdisciplinaire de recherche en réadaptation et intégration sociale (Cirris) de l’Université Laval, les jumellera avec des bénévoles de soutien dans leur communauté. 

Un chercheur québécois développe une technologie pour détecter les maladies du cœur

Thierry Judge, étudiant à la maîtrise au département d’informatique de l’Université de Sherbrooke, a mis au point une technologie permettant de déterminer quand les résultats générés par les nouveaux systèmes d’intelligence artificielle (IA), qui accélèrent l’analyse des images échographiques pour détecter les maladies cardiaques, sont incorrects ou incertains.

Savoirs autochtones et science occidentale, unis pour protéger le caribou en C.-B.

Un écologiste de la faune soutient la communauté Splatsin dans son travail de longue haleine dévoué à rétablir les hardes de caribous en voie de disparition sur son territoire traditionnel. 

Une entreprise d’Halifax développe la prochaine génération de prothèses

Le manque d’innovation dans le domaine des prothèses au cours des dernières décennies s’est traduit par une occasion pour la jeune pousse d’Halifax Awenza Health inc. Fondée il y a deux ans, l’entreprise entend révolutionner le marché des prothèses en offrant de meilleures solutions aux patientes et aux patients grâce à de nouvelles technologies. 

Le besoin 

Un outil révolutionnaire prédit la probabilité d’accident vasculaire cérébral

Karina Gasbarrino se sert de l’IA pour s’attaquer à la deuxième cause de décès et à la troisième cause d’invalidité au monde, un accident vasculaire cérébral (AVC). Son parcours a commencé il y a plus de 10 ans lorsqu’elle a perdu son grand-père à la suite d’un AVC. Depuis, elle a consacré sa carrière universitaire à sa mémoire, en contribuant à faire progresser le dépistage et le diagnostic précoces de dépôts adipeux dans les artères du cou. La rupture de ces plaques est la principale cause des AVC. 

Modes autochtones d’acquisition du savoir : sur la voie du bien-être psychologique

Il existe au Canada d’importants écarts en santé mentale entre Autochtones et non-Autochtones, surtout à cause de l’héritage du colonialisme. Selon la loi, la santé des Autochtones est de ressort fédéral; or, les services de santé mentale varient beaucoup entre provinces et territoires. Le gouvernement britanno-colombien s’est récemment engagé à investir 4,2 millions de dollars pour satisfaire les besoins croissants en soins et en services de santé mentale, particulièrement dans les communautés autochtones et en milieu rural et éloigné.

La pandémie de COVID-19, c’est aussi un enjeu de santé mentale

Gustavo Betini, étudiant en doctorat à la School of Public Health Science de l’Université de Waterloo, a passé la dernière année à étudier les effets de la COVID-19 sur la santé mentale. Ses recherches révèlent que, même si la crainte de contracter le virus s’estompe, près d’un quart des Canadiennes et Canadiens continuent d’affirmer ressentir un niveau élevé d’anxiété et de dépression lié à la pandémie.

Pages