Les travaux novateurs d’une équipe de recherche revitalisent des langues autochtones

Une équipe de recherche dirigée par des Autochtones à la Sanyakola Foundation, à Port Hardy (Colombie-Britannique), a lancé une initiative collaborative pour assurer le rétablissement du kwak’wala. Sous la direction de Sara Child, professeure d’éducation autochtone au Collège North Island, la Sanyakola Foundation entreprend un projet auquel participent des Aîné·es et des Détenteurs et Détentrices du savoir kwakwaka’wakw et qui mobilise une jeune génération. 

Rien sur nous sans nous : la souveraineté des données autochtones

Moneca Sinclaire, Ph. D. est membre de la Nation crie Opaskwayak située le long de la rivière Saskatchewan dans le nord du Manitoba. Ayant récemment terminé un postdoctorat sous la direction du professeur Stephane McLachlan du Département d’environnement et de géographie de l’Université du Manitoba à Winnipeg, elle a joué un rôle crucial au sein de l’équipe à l’origine de Our Data Indigenous, une application mobile inédite qui collecte des données de sondage importantes permettant aux communautés autochtones d’agir sur des questions de santé et de bien-être. 

Une approche communautaire de la gestion des impacts dans le nord-ouest de la C.-B.

Bien avant d’être le deuxième plus grand port du Pacifique, le territoire autour de Prince Rupert, en Colombie-Britannique, accueillait la Première Nation Metlakatla. Riche en ressources et forte de son histoire marquée par des opportunités économiques productives, cette région a subi de nombreux changements. Des projets de développement et les activités humaines ont eu des répercussions non seulement sur l’environnement, mais aussi sur le bien-être de la communauté.

CO-Away : un outil numérique pour aider les communautés du Nord à gérer la COVID-19

Lorsque la deuxième vague de grippe espagnole a frappé le Canada il y a plus de 100 ans, ses effets ont été encore plus dévastateurs que ceux de la première vague. En effet, 90 pour cent des décès ont eu lieu à l’automne 1918 lors du second pic de la pandémie.