Un fauteuil roulant autonome roule à l’Université de Toronto
Une stagiaire Globalink travaille sur un fauteuil autonome de pointe avec un professeur local
Une stagiaire Globalink travaille sur un fauteuil autonome de pointe avec un professeur local
Travaillant sous la direction du professeur Jonathan Kelly, Xinyi espère étendre la technologie de pointe qui permet au fauteuil roulant de se naviguer et de se conduire de façon autonome.
Le fauteuil roulant WiFi est unique, car il incorpore des capteurs visuels à faible coût plutôt que des scanneurs au laser dispendieux, ce qui le transforme en solution beaucoup plus faisable et à court terme que des concepts semblables proposés. Il fonctionne sur les mêmes principes qu’une voiture autonome : un ordinateur de bord fournit une carte géométrique de l’environnement d’un utilisateur et l’utilisateur donne ensuite des commandes faciles pour se déplacer du point A au point B. Le fauteuil électrique utilise une technologie de vision par ordinateur pour éviter les obstacles, passer dans les cadres de porte et manœuvrer vers des positions sécuritaires. Il est actuellement contrôlé à l’aide d’une tablette ou d’un téléphone intelligent.
« Une partie de l’incitation pour ce projet était le fait que tellement d’entreprises s’impliquent dans des voitures autonomes, » dit le professeur Kelly, qui est le directeur du laboratoire Space and Terrestrial Autonomous Robotics Systems (STARS) [systèmes robotiques autonomes pour l’espace et terrestres] de l’Université de Toronto « Assurément qu’un fauteuil roulant autonome qui se déplace beaucoup plus lentement devrait être un problème plus facile à résoudre. »
Pendant son temps au Canada, Xinyi travaille afin d’identifier la meilleure façon pour les utilisateurs avec des handicaps moteurs graves au haut du corps de commander le fauteuil facilement et efficacement en utilisant les interrupteurs au souffle existants ou la technologie à commande oculaire.
Pour Xinyi, l’expérience de venir au Canada est une occasion d’explorer un nouvel environnement académique et d’acquérir les compétences dont elle aura besoin pour faire demande soit pour une maîtrise ou un doctorat à l’avenir.
« Je n’ai pas encore décidé de mon cheminement de carrière précis, mon but est donc de faire de mon mieux et de terminer mon stage avec une bourse pour poursuivre mes études, » dit Xinyi.
Mitacs remercie le gouvernement du Canada et le gouvernement de l’Ontario de leur soutien à l’égard du programme de stages de recherche Globalink dans cet article.À l’échelle du Canada, le programme de stages de recherche Globalink reçoit également le soutien d’Alberta Innovates, du gouvernement de la Colombie-Britannique, du gouvernement du Nouveau-Brunswick, du gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador, du gouvernement de la Nouvelle-Écosse, du gouvernement de l’Île du Prince Édouard, du gouvernement du Québec, du gouvernement de la Saskatchewan et de Research Manitoba.
De plus, Mitacs a le plaisir de travailler avec les partenaires internationaux suivants pour soutenir le programme Globalink : Universities Australia; China Scholarship Council, Campus France,le service d’échange universitaire allemand, le secrétariat d’éducation publique du Mexique, Tecnológico de Monterrey et l’Université nationale autonome du Mexique et le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique de la Tunisie et Mission universitaire de Tunisie en Amérique du Nord.
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