Nous sommes certains qu’un potentiel remarquable d’innovation et d’intervention pour littéralement supprimer le mazout comme option énergétique au Québec est existant. Mais il faudra être capable de monter un modèle, idéalement plusieurs modèles d’affaire, pour motiver la conversion tout en considérant les réalités locales.
Nous pensons que beaucoup de données sont facilement récupérables ici et là et qu’un travail visant à colliger ces données s’impose aujourd’hui.
Avec près de 75% des résidences construites avant 1995, le parc de logements au Québec est vieillissant et ne réponds plus du tout aux normes environnementales et énergétiques de développement durable. Les québécois ne sont pas friands de l’épargne avec un taux de 1,4% mesuré en 2012. La capacité d’investissement s’en trouve limitée créant un obstacle quasi-infranchissable au développement de la rénovation éco-énergétique.