Selon le plus récent rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur le climat (GIEC), les événements extrêmes tels que les précipitations intenses sont susceptibles d’augmenter en intensité et en fréquence au Canada. Au Québec, cette augmentation aura des impacts considérables sur l’ensemble des secteurs d’activité de la province, tels que l’agriculture, l’énergie et l’aménagement du territoire. La quantification de cette augmentation ainsi que l’étude de ces impacts se font généralement à l’aide des précipitations simulées par les modèles climatiques.