Engineering organisations like Thales rely on large quantities of technical knowledge. When resolving a technical
problem, for example, users have to follow a multi-step procedure in which the steps are described with various
levels of detail, may not be up to date, or may not target the exact problem they are facing. Recent progress in
Large Language Models (LLM) showed capabilities for these models to reason over procedural knowledge but it
is still very difficult to evaluate if these models will be able to support users in executing complex, procedural tasks
in various scenarios.
Children and animals learn by trials and errors from their environments. They don’t need many similar examples to learn how to do a task since they develop self-awareness about a given experience in order to avoid repeated regrets caused by failed trails. A robot machine can be programmed to develop such awareness by using reinforcement learning (RL). However, the RL algorithms require collecting a large amount of data to reach high performance, which makes them only successful in simulation environments.
This project aims at proposing a novel approach for the task of Conversational and Visual Question Answering. We propose to use Knowledge Bases for questions which require common sense, or basic factual knowledge from external structured content. We will explore the application, adaptability and utility of common sense knowledge to handle the question answering problem on both textual and visual questions.
L'érable à sucre est exploité depuis plusieurs siècles en raison de la concentration particulièrement élevée en sucre de sa sève. Malgré son importance économique, notamment au Canada, les paramètres qui régulent le mécanisme de la coulée à l'échelle de l'arbre sont encore mal connus.
L'érable à sucre est exploité depuis plusieurs siècles en raison de la concentration particulièrement élevée en sucre de sa sève. Malgré son importance économique, notamment au Canada, les paramètres qui régulent le mécanisme de la coulée à l'échelle de l'arbre sont encore mal connus.
L’utilisation des antibiotiques en productions animales reste une problématique importante malgré le développement d’alternatives et une meilleure connaissance de la santé digestive. Dans une optique de durabilité, les différents acteurs impliqués en productions animales ont travaillé à réduire l’utilisation des antibiotiques dans les aliments du bétail et de la volaille. Cette utilisation importante des antibiotiques en productions animales a joué un rôle dans la propagation des gènes de résistance aux antibiotiques dans l’environnement.
Dans une optique de durabilité, les filières animales sont à la recherche d’alternatives pouvant remplacer le maïs et le tourteau de soya très utilisés pour alimenter les animaux et qui entrent en compétition avec l’alimentation de l’homme. Dans ce cadre, les farines animales, riche en protéines, gras, phosphore et calcium, sont déjà utilisées pour substituer une partie du maïs, du tourteau de soya et des minéraux ajoutés chez le poulet de chair. En effet, celles ayant une teneur élevée en protéine (58-60%) et gras (12%) comme la farine de porc remplace avantageusement le tourteau de soya.
Le projet de recherche porte sur la prédiction probabiliste d’une demande intermittente.
On cherche à prédire la distribution statistique du niveau de remplissage d’un réservoir en fonction du temps, à l’aide des données des derniers services. Ces prédictions permettront d’optimiser les fenêtres de temps des prochains services. De ce fait, on augmentera le taux de remplissage moyen des réservoirs collectés ainsi que la profitabilité des routes.
Thales vient de lancer son accélérateur AI@Centech. Situé à Montréal, l’accélérateur a pour objectif d’accompagner, sous forme de cohortes de 6 mois, des start-ups qui fournissent des solutions basées sur l’intelligence artificielle (AI). Cette grappe Mitacs, qui réunit des stagiaires de l’ÉTS et de Polytechnique Montréal, vient appuyer Thales dans la structuration de son accélérateur, autant d’un point de vue de gestion de l’innovation que de gestion de développement de logiciel (DevOps).
De nos jours, bon nombre d’entrepreneurs se lancent en affaires. Pourtant, la majorité des entreprises en démarrage créées ne se concrétise pas en succès. Dans la plupart des guides mis sur pied pour aider les entrepreneurs à percer dans le marché, très peu de place est accordée à l’importance des communications stratégiques (on entend par communication stratégique, toute communication réalisée dans le but d’atteindre les objectifs d’affaires de l’entreprise). C’est ici que mon mémoire prend toute son importance.
