Ce projet comprend l’animation/observation de communauté de pratique pour modéliser et prototyper une amélioration du système de gestion des idées existant et à l’intégrer parfaitement à la gestion de l’innovation technologique de l’IRÉQ. Ce nouveau système permettra la valorisation des idées produites dans un contexte scientifique pour les amener vers un processus d’innovation technologique.

La gestion des opérations de centre d'appels d'Hydro-Québec est une tâche très complexe qui implique souvent un équilibre entre des objectifs contradictoires. En effet, les gestionnaires ont pour but d’atteindre des niveaux élevés à la fois en termes de qualité de service et d'efficacité opérationnelle. La qualité du service est généralement mesurée par les principaux indicateurs de performance cibles tels que le temps moyen d'attente des appelants. L'efficacité opérationnelle est généralement mesurée par la proportion de temps durant laquelle les agents sont occupés à traiter les appels.

Les effets négatifs des changements climatiques d’une part et les besoins énergétiques toujours croissants d’autre part ont poussés les décideurs à mettre en place des programmes d’efficacité énergétique. Au-delà d’une prise de conscience collective, il faut fournir les outils et les informations permettant aux utilisateurs finaux et aux producteurs, transporteurs et distributeurs d’énergie de collaborer dans cet effort d’économie d’énergie.

Le vieillissement, le mode d’exploitation et la fréquence des maintenances des équipements ont un impact sur les centrales hydroélectriques et affecte l’estimation de leur fiabilité et de leur durée de vie.

Les organisations produisent de grande quantité de données, de divers types, différentes sources et à une fréquence très élevée. Le phénomène des données volumineuses (communément appelé Big Data) constitue une mine d’or pour ces organisations car plusieurs données restent souvent encore sous exploitées.

L’objectif de ce projet est de tester et valider un code de mesures de déformation par corrélation d’images numériques (digital image corrélation en anglais, DIC en abrégé). Cette technique permet d’évaluer les déformations en surface que subit une pièce sollicitée mécaniquement, de façon à prédire son comportement en service. Le principe de la corrélation d’images repose sur la comparaison d’images de la pièce prises avant et après déformation. Elle présente l’avantage d’être sans contact et adimensionnelle, c’est-à-dire applicable à toutes les échelles.

Traditionnellement, les dispositifs employés pour chauffer individuellement à l’électricité les pièces sont conçus à base de métal, lamelles ou spirales, où l’ont fait circuler un courant afin de les chauffer. Pour assurer un chauffage adéquat au plus fort de l’hiver nord-américain, les plinthes chauffantes doivent avoir un volume minimal de métal, ce qui résulte en un dispositif volumineux et encombrant qu’on installe le plus souvent au sol. Une entreprise de la rive-sud de Montréal, Delmec, s’est lancée dans la commercialisation de panneaux chauffants décoratifs.

En 2011, les professeurs Bernier, Kummert, Marcotte et Pasquier de l'École Polytechnique de Montréal ont entrepris le développement d'un logiciel de simulation en géothermie (GHE_Sim). Ce logiciel utilise une approche spectrale afin d'accélérer le calcul de la superposition temporelle et une technique novatrice pour tenir compte adéquatement de l'interaction thermique entre les puits d'un même champ géothermique.

Le sujet à I'étude dans ce projet est Ie joint de cuivre flexible. Ces joints assurent une connexion électrique entre des conducteurs. Certains fabricants utilisent aujourd'hui ces joints flexibles dans les alternateurs pour faire les connexions entre les pôles du rotor pour I'inducteur. Le dimensionnement de ces joints flexibles s'effectue avec une approche conservatrice compte tenu du manque d'informations disponibles dans la littérature. Le dimensionnement du joint flexible est principalement gouverné par son comportement thermique.

Chaque jour, des décisions doivent être prises quant à la quantité d'hydroélectricité produite au Québec. Ces décisions reposent sur la prévision des apports en eau dans les bassins versants produite à I'aide de modèles hydrologiques. Ces modèles, qui transforment les précipitations en débits, prennent en compte plusieurs facteurs, dont notamment la présence ou I'absence de neige au sol. En effet, cette information est primordiale durant la fonte printanière pour anticiper les apports à venir puisqu'au moins 30% du volume de crue peut provenir de la fonte du couvert nival.