Au Québec, en 2011, on ne recense pas moins de 5 bris d’infrastructure souterraine par jour. Ces accidents mettent en danger la santé et la sécurité des travailleurs et sont très coûteux. Cependant, si les couûts de reparation d’un réseau (coûts directs) sont relativement faciles à identifier et à imputer à un événement, les coûts sociaux et environnementaux (coûts indirects) sont quant à eux difficilement quantifiables et de surcroit rarement pris en compte dans les décisions en matière de travaux ou de prévention.