Les mines en exploitation doivent se soumettre à des directives environnementales en ce qui a trait à la qualité de leurs effluents. La non-toxicité aquatique, pour la truite arc-en-ciel et les daphnies, est un des critères essentiels, alors que l’azote ammoniacal est l’un des principaux paramètres responsables, même à faible concentration. Ses sources sont l’eau de dénoyage et/ou la dégradation incomplète des cyanures et leurs dérivés.
Dans le but de traiter des eaux usées issues de l’activité minière, différentes techniques doivent être soumises à des essais-pilotes étant donné la nature de la contamination – à savoir, des hauts débits et très chargée en divers polluants. Le projet permettra d’évaluer la faisabilité technique et économique de l’enlèvement de l’azote ammoniacal à l’aide d’une méthode d’échange ionique, déjà connue mais qui doit être optimisé pour le contexte des mines. Sanexen cherche à se familiariser avec des techniques de traitement pour les effluents miniers, un marché émergent au Canada.
Dans les dernières années plusieurs déversements de produits pétroliers ont conduit à la contamination dun grand nombre de terrains au Canada. Actuellement, les bio-surfactants sont utilisés dans plusieurs techniques de réhabilitation de sol grâce à leur faible toxicité et leur biodégradabilité. Les bio-surfactants sont des surfactants produits par une diversité de micro-organismes afin de solubiliser puis fixer (micelle) des substrats hydrophobes.
Lobjectif général de ce projet est de démontrer lefficacité de procédé dEOA en développement à lINRS-ETE afin déliminer divers types de polluants notamment de type organique présents dans les eaux résiduaires issues des CTDD et ce, grâce à la combinaison des effets direct et indirect du courant électrique. Ces travaux devraient permettre de répondre aux exigences et objectifs environnementaux de rejets pour ce type deffluent.
Ce projet de recherche tend à soutenir l’effort de recherche et de développement ainsi que de formation de personnel hautement qualifié de la Chaire de recherche industrielle en Biocarburants et Biocommodités de l’Université de Sherbrooke. Les objectifs de cette démarche tendent à faire avancer la recherche et le développement de pointe dans le domaine des biocarburants et des biocommodités via 4 plateformes spécifiques.
Methane is a key greenhouse gas (GHG), and atmospheric methane emissions in Alberta are associated with a variety of industry sectors: sanitary landfills, wood waste landfills, feedlot operations and the oil and gas sector. When the quantities released at individual locations are relatively small, this methane cannot be used as an energy source; therefore, environmentally acceptable methods are needed for their control. Recent research has shown that methanotrophic bacteria are capable of converting methane to carbon dioxide without producing toxic by-products.
Hydraulic fracturing accounts for a significant component of Canadian gas resource plays – and its use is ever increasing (Rivard et al., 2014). A particular environmental challenge associated with these operations is the need to establish tailing pits for the used fracking fluid (frack-ponds). Leakage of frack fluids from these ponds presents a significant, ongoing and growing environmental concern.
The project is focused on study of commercial microbial cultures for biological remediation of soils and ground waters contaminated by chlorinated organic compounds. The successful elaboration and improvement of the products requires analysis on molecular-genetic level and detailed understating of organization of the microbial communities. The work benefits to industry partner by providing comprehensive information on functional and taxonomic structure, metabolic models of the studied microbial communities and key microorganisms involved in dechlorination of chloroform.
The role of this internship is to assist in reaching the SSHRC goal for the Dreamcatcher system of capturing cultural data, traditional ecological knowledge, and traditional land use. This internship will contribute to the growing area of critical Indigenous research in Canadian planning practice and theory.