Analyse biométrique de la tolérance au risque : étude expérimentale sur des professionnels en finance

Les banques reposent généralement sur de courts questionnaires afin de déterminer quel est le profil d’un investisseur et entre autres, sa tolérance au risque. Nous nous posons donc la question de savoir s’il existe des différences entre les réponses données à de tels questionnaires, simples ou plus complexes en format écrit, et la véritable réaction émotionnelle d’une personne en contexte réel. Pour ce faire, l’oculométrie et la reconnaissance d’émotions faciales sont les deux techniques que nous allons employer afin de répondre à cette problématique. Découvrir de grandes différences aurait un intérêt économique énorme car un des buts fondamentaux de la finance et d’allouer ses actifs de la meilleure manière possible, c’est-à-dire faire correspondre les besoins des uns avec les autres tout en respectant les préférences et les contraintes des différents partis. S’assurer que l’argent des individus est placé en fonction de leur véritable tolérance au risque représente donc un grand intérêt pour une banque qui voudrait offrir le meilleur service à ses clients tout en employant des gestionnaires adéquats, capables eux aussi de réagir de la bonne manière en temps voulu.

Faculty Supervisor:

Martin Boyer

Student:

Mickaël Glanger

Partner:

Banque Nationale du Canada

Discipline:

Economics

Sector:

Finance, insurance and business

University:

Program:

Accelerate

Current openings

Find the perfect opportunity to put your academic skills and knowledge into practice!

Find Projects