Les cinq projets possibles pour les stages mitacs font toujours l’objet d’un examen final par la direction de Blackbox avant d’être soumis à Mitacs pour approbation, dit Gedamu, mais seront probablement offerts assez bientôt aux stagiaires par l’entremise de Mitacs Accélération programme de stages. Un peu plus loin, dit Gedamu, il pourrait même y avoir quelques autres projets de stages dans le domaine du génie électrique, bien que ces plans n’aient pas encore été finalisés.
Blackbox, qui se spécialise dans l’offre de services SIG au secteur pétrolier et gazier à Calgary, est une entreprise à croissance rapide, dit Gedamu. « Pour continuer à croître, nous devons innover et, pour innover, nous devons établir des partenariats avec les chercheurs. Mitacs m’a offert ce genre d’opportunité, et maintenant je serais heureux d’offrir aux autres le même genre d’opportunité d’une manière qui serait mutuellement bénéfique », a déclaré Gedamu, qui est le directeur du développement de produits chez Blackbox.
Gedamu s’est familiarisé avec les projets de Mitacs en 2004. À l’époque, après avoir terminé ses études de premier cycle en génie électrique et informatique à l’Université de Calgary, il poursuivait une maîtrise en génie biomédical à l’Université McGill à Montréal. « En cherchant sur Internet le type de financement que j’ai pu trouver pour la recherche, j’ai découvert Mitacs, qui offrait du financement par l’entremise du programme de SIPC du CRSNG à l’époque », se souvient Gedamu.
Gedamu a participé à un projet de recherche impliquant l’utilisation de l’IRM sur des personnes souffrant de sclérose en plaques. L’objectif était d’essayer de quantifier les régions du cerveau liées à la maladie pour voir si sa progression pouvait être prédite. Gedamu a travaillé sur les aspects du traitement des images IRM, à la recherche de moyens de contrôler la qualité des images IRM pour empêcher les anomalies systémiques comme le gauchissement et les artefacts d’intensité d’affecter la précision des mesures de pathologie cérébrale.
Avant ses études supérieures à l’Université McGill, Gedamu a fait partie du secteur privé, d’abord à Nortel, puis à Hewlett-Packard aux États-Unis, avant de retourner dans sa ville natale de Calgary.
Gedamu résume l’avantage de participer à des stages mitacs : « C’est bien d’avoir à la fois l’industrie et milieu postsecondaire dans vos antécédents. Le monde universitaire est incroyable, mais il ne fonctionne pas toujours comme un cheminement de carrière. Si vous regardez les conditions actuelles du marché, il y a une certaine saturation de candidats qualifiés pour des emplois universitaires.
Les projets de recherche offerts par Mitacs en partenariat avec des partenaires privés répondent à un besoin en ce sens qu’ils « gardent les problèmes à résoudre étroitement liés aux besoins et aux contraintes du monde réel », dit M. Gedamu, ajoutant que cela en fait une bonne préparation à un cheminement de carrière en dehors de milieu postsecondaire.
Mitacs remercie le gouvernement du Canada et Alberta Innovates pour leur appui à l' Accélération stage de recherche dans cette histoire. Dans l’ensemble du Canada, l' Accélération reçoit également le soutien du gouvernement de la Colombie-Britannique, du gouvernement du Nouveau-Brunswick, du gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador, du gouvernement de la Nouvelle-Écosse, du gouvernement de l’Ontario, du gouvernement de l’Île-du-Prince-Édouard, du gouvernement du Québec, du gouvernement de la Saskatchewan et de Research Manitoba.
Avez-vous un défi commercial qui pourrait bénéficier d’une solution de recherche ? Si c’est le cas, communiquez avec Mitacs dès aujourd’hui pour discuter des possibilités de partenariat : BD@mitacs.ca
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